Au milieu du XIXe siècle, le site s’agrandit avec l’ajout des bureaux et ateliers. C’est là qu’étaient fabriqués ou réparés les outils et les machines utilisés par les mineurs.
Le complexe, centre névralgique de la mine, ne cesse de s’étendre jusqu’à la première moitié du XXe siècle, au gré du développement des activités. On y trouve des ateliers d’ajustage, une forge, une fonderie, une scierie et une charpenterie, une chaudronnerie, un moulin, une usine à gaz et des gazomètres, des entrepôts, des écuries, etc. L’accès à ce véritable quartier industriel, face au centre-ville, sur l’autre rive du canal, est longtemps uniquement réservé aux mineurs et au personnel.